De la prose????

Celen wrote:

et c'est qui Nerval ?

Tu ne connais pas Gérard de Nerval???
Il est, pour moi, le meilleur auteur français.

ViCtOrIa SeRaS:::::::accordé : Accordé quoi ? o_O

ViCtOrIa SeRaS wrote:

Mais comme je pense que le texte doit entièrement t'appartenir, je te laisse modifier ce que tu juges bon de modifier Enfin si tu veux que je le dises je peux aussi ^^

Pour ceci...

Ah ok ^^
Ben j'te dirais ce que je vois quand j'aurais le temps, j'suis de passage rapide là

Ok d'accord.

Désolée mais j'ai modifié ça sur word donc j'ai pas pus mettre mes modifs dans d'autres couleurs. Sinon pour ce qui concerne les modifs j'ai principalement changé la synthaxe et la ponctuation. L'orthographe j'ai fait ce que j'ai trouvé. A mon avis y'a encore un ou deux passage à revoir. Et y'a aussi des moments où j'aurais dit telle ou telle chose autrement mais c'est pas faux donc je te laisse ta façon de t'exprimer


Certaines personnes disent que la mort est un long chemin empli par la lumière du saint esprit. D’autres pensent différemment mais n’en disent pas long. Maintenant, je pense pouvoir plus en dire et en décrire que n’importe quels autres être humains peuplant cette Terre.
Je ne sais quel est mon état : Suis-je mort ? Vivant ? Etant vivant, je ne savais déjà pas quel était mon état. [Incohérence, tu dit que tu ne sais pas à quel état tu es et juste après tu affirme que « quand tu ETAIS vivant… » donc tu dit être mort] L’ignorance qui m’accablait, à cet instant, me gênait particulièrement. Une gêne tout à fait nouvelle pour ce que j’étais, et ce que je suis encore. [Et tu dis ne pas savoir à quel état tu te trouves, ce que tu es, puis tu affirmes le savoir… Bizarre]
Certains épisodes de ma vie défilent devant mes yeux. Des épisodes, pour la plupart des hommes lorsque la maturité les atteints, des épisodes inévitables pour les êtres de toutes sortes. Comme les premiers et douloureux souffles vitaux.
Je revois cet ovale se dessiner dans un ciel pâle, sans émotions, grâce à une couleur pourpre proche du sang sali par je ne sais quelles immondices. Il avait empli mon esprit et avait été ma seule préoccupation pendant le laps de temps qui fut [qui fut quoi ?]. C’était un appel, un appel proche de celui que ressent un jeune homme devant sa première créature féminine dénudée.
Je sens encore cette chose traverser mon âme et la paralyser ainsi que la totalité de mon corps.
Quand elle arrive en vous, cette chose est pareille à aucune sensation terrestre que cela soit dans le registre du plaisir ou de la souffrance, même si cette frontière dépend de chaque individu.
Après quelques dizaines de secondes de cohabitation [?], il en ressorti une sensation de fraîcheur, de gel même. Un sentiment de béatitude démoniaque m’envahit lorsque ce froid partit.
Il laissa quelque chose en moi, pourtant une chose me perturbait à ce sujet, ce fut que je ne sentais réellement rien de nouveau et pourtant je savais pertinemment que s’était le cas.
Peu après, je n’avais plus l’impression d’être ou bien de ressentir une quelconque autre sensation personnelle qui puisse nous dire : on existe, on est le seul à prendre les décisions, on est le seul à vouloir et à pouvoir…Je sentais un autre être, un être dont je ne savais rien, si ce n’est l’étroite idée que ce « diable » puisse apparaître comme conséquence de ce froid.
C’est compliqué à raconter et à comprendre pour ceux qui n’ont jamais ressentis une pareille chose. C’est comme si (l’)on essayait de raconter une expérience relevant des sens humains, tel que l’odeur d’une chose ou bien l’expérience sexuelle. [Comme Shana Derencli l’a dit, c’est tout à fait éxpliquable]
Il me fallut quelque temps pour me ressaisir et reprendre une maîtrise de mon corps. Une maîtrise partielle car l’être y était encore présent, il y était sans y être. C’est une sensation étrange que celle d’être en présence d’un autre esprit.
Je me réveillais dans une rue, j’étais couché sur le bord du trottoir, ma tête était la seule partie de mon anatomie qui ne touchait pas le sol. Lorsque j’ouvris les yeux, je voyais l’eau, le caniveau. Je voyais l’eau roulante sur les pavés humides. Les gouttes d’eau tombées du ciel ruisselaient sur mon visage puis se déversaient dans le caniveau. Et cette eau roulante formait une chaîne. Une chaîne que je détruis en me relevant. A cet instant j’étais paré d’une longue veste. Je découvris par un froid naturel que cette veste était non fermée et que j’étais torse nu. Seul un pantalon couvrait mes jambes.
Soudain, je repris conscience de l’être, une conscience douloureuse.
Toute la fureur et toute la haine de cet être, venu de je ne sais où, s’empara de mon esprit. Je sentis subitement mes vertèbres se déplacer, ma peau se déchirer, mon sang se déversé tel une chaîne à sens unique. Mon pantalon, se colora en rouge, un rouge sang particulier…
Lorsque je le vis luire sur la dalle d’un rouge pourpre avec une pointe de couleur noire, une rafale de questions sans réponse envahit mon imaginaire. Mon imaginaire qui, à cet instant, était troublé par ce qui se passe en moi. Car la douleur devint deux fois plus intense lorsque je sentis deux choses sortir de ma blessure d’où émanait le mal qui me hantait depuis plusieurs minutes. (je sentis…plusieurs minutes : phrase à revoir à mon avis)
Quand je regardai l’eau accumulée sur la route, elle me refléta mon image. (« elle me refléta » ou « elle me renvoya mon image » mais pas « elle me refléta mon image »)
L’image d’un homme, qui par tous les moyens du monde ne pouvait me ressembler en aucun trait.

Après une fausse manipulation, je dois tout recommencer.
Je serais peut-être plus bref...

Vous êtes toutes deux des tueuses de chimères.


Mais bon, soyons sérieux maintenant.

Pour ViCtOrIa SeRaS:::

[Incohérence, tu dit que tu ne sais pas à quel état tu es et juste après tu affirme que « quand tu ETAIS vivant… » donc tu dit être mort],[Et tu dis ne pas savoir à quel état tu te trouves, ce que tu es, puis tu affirmes le savoir… Bizarre] ;;; Je ne dis pas cela.

[qui fut quoi ?];;; le laps.

(« elle me refléta » ou « elle me renvoya mon image » mais pas « elle me refléta mon image »);;; Ô temps pour moi

(je sentis…plusieurs minutes : phrase à revoir à mon avis) ;;; C'est vrai que c'est une phrase confuse, en faite la blessure doit se trouver dans le dos, et les choses doivent être des ailes humaines..

Pour Shana Derencli (hors erreur syntaxe, ponctuation et erreur de verbe)

(pas de sens logique. Ils pensent quoi les autres ?);;; Marque une contradiction entre les certaines personnes de la phrase du dessus.

(L’emploi de l’imparfait dans ce passage ne fait qu’accentuer une incohérence de récit. Tu ne sais dans quel état tu es actuellement et tu prétends que tu étais vivant. Je vois parfaitement où tu veux en venir mais il y a quand même un petit problème qu'il faut résoudre.);;; J'y travailles.

(Ce passage est à revoir à mon humble avis. Il va de contradiction en contradiction.);;; Il est vrai que ce passage est le plus confus. Il y a une raison: c'est la base du texte, les fondations, là d'où tout est parti.

(le "l’" est inutile ici, d’autant plus qu’il alourdit la phrase);;; Selon moi, il en fait tout le contraire! Le "l'" créé un effet de mouvement, comme l'eau qui coule.

(c’est lourd ! Trop de "je voyais". Pourquoi ne pas écrire je voyais l’eau, le caniveau, l’eau roulante sur les pavés humides ? Il faudrait également que cette énumération ait un sens. Peut-être ce que ton personnage voit en premier, puis en second et ainsi de suite. Ou tout autre chose. A toi de voir^^);;; Malgré les diverses "je" du texte, j'ai voulu écrire un texte assez abstrait, impersonnelle, où il n'y a aucun personnage concret.




Et pour finir, une chose où vous vous accordez, "C’est comme si l’on essayait de raconter une expérience relevant des sens humains, tel que l’odeur d’une chose ou bien l’expérience sexuelle.", ce que je veux dire est qu'une sensation n'est pas concrète et volatiles. De plus je ne dis point qu'il est impossible mais compliqué.

[Incohérence, tu dit que tu ne sais pas à quel état tu es et juste après tu affirme que « quand tu ETAIS vivant… » donc tu dit être mort],[Et tu dis ne pas savoir à quel état tu te trouves, ce que tu es, puis tu affirmes le savoir… Bizarre] ;;; Je ne dis pas cela.
==> C'est l'effet que ça donne. Le fait que tu dises "Je ne sais quel est mon état : Suis-je mort ? Vivant ?" indique que tu ne sais pas si tu es mort ou vif et le fait que tu dises "Etant vivant, je ne savais déjà pas quel était mon état." démontre que tu sais pertinemment ne pas vivant.

(le "l’" est inutile ici, d’autant plus qu’il alourdit la phrase);;; Selon moi, il en fait tout le contraire! Le "l'" créé un effet de mouvement, comme l'eau qui coule.
===> Faux, pour "l'eau qui coule" le L' signifie La ! Admettons que eau s'écrive avec une consonne en première lettre ; Neau. Ce serait "La neau qui coule". Le L' est juste le déterminent, hors on n'as pas besoin de déterminent. Et parfois, avec on, le L' a une autre fonction mais comme j'ai aucun exemple en tête j'peux pas expliquer. Mais ça ne donne pas d'effet, ça alourdi et la phrase n'est pas juste. (enfin, c'n'est que mon avis hein ^^)

Sinon pour le reste il me semble que c'est ok ^^

Et pour "O tant pour moi" c'est "Autant pour moi"

Mouais, mouais!

===> Faux, pour "l'eau qui coule" le L' signifie La;
Oui, je le sais! la eau était un mauvais exemple. Moi je trouve que le l' n'alourdis pas la phrase. Je suis peut-être une tête de mule, et je penses toujours que le l' est bénéfique.....


Et pour le "autant pour moi", je penses qu'il s'écrit comme je l'ai écrit.

Ah ben c'est possible, mais le L' n'alège pas toujours. Parfois, et là je suis entièrement d'accord, il fait "couler" les mots mais pas là. Enfin les impressions sont diffréntes selon les gens mais là je trouve que ça alourdit. Mais à un ou deux endroits où tu la mis c'était niquel ^^

Pour "autant pour moi", j'suis pas sûre mais il me semble bien que c'est autant

Merci!
Mais il me semble que "autant pour moi", s' écris plutôt o temps pour moi.
Ce qui serais logique, car cela voudrais dire que l'on(encor et toujours ce l') veuille revenir dans le temps pour modifier quelque chose!!, non?

Là il était bien placé
Mais autant pour moi voudrais plus dire, autant d'erreurs, le même nombres, enfin j'sais pas comment expliquer ça mais je m'comprends quoi

Je n'en suis pas convaincu....
J'aime bien mon raisonnement...mais c'est vrai que le tien tiens la route.

Oué, le tient tiens la route aussi mais il me semble l'avoir vu écrit dans je ne sais plus quel autre livre avec "autant", j'essairais de vérifier

.

Je reviens sur ce texte que j'ai laissé dépérir trop longtemps.
Mais il est encore trop tôt pour que je post les modifications...
Donc, j'ai relu tout l'historique du texte, et j'ai retrouvé une chose et c'est celle-ci:

Quote :

Ce thème est un thème récurent dans la littérature vampirique. C’est là, où devenu Vampire, l’Homme en question se pose des questions "existentielles" sur lui-même et sa vie

Eh! Oui, effectivement c'est un thème récurent dans la littérature vampirique. Or, moi je ne veux en aucun cas faire de la littérature vampirique (Ils m'ont troublé toute ma jeunesse..). Moi, je m'intéresse à un autre aspect du fantastique, la Nécromancie...